Il l'a écrit :
"Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel… »
et aussi :
« C’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle Église, avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi »
« c’est au socialisme qu’il va revenir d’incarner la révolution religieuse dont l’humanité a besoin »
(extraits de «La révolution française n’est pas terminée» Vincent Peillon)
Si je n'étais pas chrétienne, si l'Espérance ne m'habitait pas, j'en pleurerais....
"Il faut être capable d’arracher l’élève à tous les déterminismes, familial, ethnique, social, intellectuel… »
et aussi :
« C’est bien une nouvelle naissance, une transsubstantiation qui opère dans l’école et par l’école, cette nouvelle Église, avec son nouveau clergé, sa nouvelle liturgie, ses nouvelles tables de la Loi »
« c’est au socialisme qu’il va revenir d’incarner la révolution religieuse dont l’humanité a besoin »
(extraits de «La révolution française n’est pas terminée» Vincent Peillon)
Si je n'étais pas chrétienne, si l'Espérance ne m'habitait pas, j'en pleurerais....
Commentaires
Sa présence au ministère de l'EN ne fait que me conforter dans notre choix d'IEF pour nos enfants... ils ne sont pas prêts de voir les bancs d'une école !!
Instruction en famille ou écoles hors contrat!
Jacotte
de quel droit ose-t-il parler ainsi?
Voilà pourquoi selon moi il n'y a que 3 chemins possibles : le public, le hors contrat et l'IEF.
Dès lors qu'il y a subvention, il y a compromission, c'est inévitable!
Mais malheureusement je ressent déjà ce processus se mettre en marche.
Puis-je reprendre l'article sur mon blog?? et par la même occasion vous citer dans ma liste de blog?
Odette
http://notreviesansecole.blogspot.com/
Devant cette montée du mal, j'aime à relire Jean-Paul II dans "mémoire et identité" : " La limite imposée au mal par le Bien divin en est arrivée à faire partie de l'histoire de l'homme, en particulier de l'histoire de l'Europe, par l'action du Christ". A la montée d'un tel mépris de Dieu répond une nouvelle soif d'évangéliser et s'il y a bien des raisons qui pourraient pousser au découragement, il me semble que les signes d'espérance sont infiniment plus forts, même s'ils sont encore discrets.
@Fabienne : oui, il y a toujours un mal pour un bien...